Une fille comme les autres découverte en couche

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes
il y a 5 ans

Je m’appelle Julie, j’ai 19 ans. J’entre à l’université en ce mois de septembre 2002. Je suis inscrite en première année à la faculté des sciences économiques à Louvain-la-Neuve. Une ville créée pour les étudiants francophones de l’université de Louvain (Leuven) lors du Wallen Buiten. Pour moi le fait de "monter" à Louvain est une délivrance car je vais vivre en studio individuel, loin de mes parents. Le studio est assez bien équipé, avec une chambre, une salle de bain, une kitchinette, il est au troisième étage.

Je suis donc libre et je peux maintenant faire tout ce que je ne pouvais pas faire chez moi à cause des parents. Je leur ai dit que je passerai à Louvain les quelques jours qui précèdent le premier jour de cours. Une fois dans mon studio, tous les cafés du coin repérés, je ne pu m’empêcher de faire ce qui me tentait depuis si longtemps. Ma vessie était pleine et il ne fut pas si facile de ne plus se retenir, mais après quelques minutes je sentis le pipi qui sortait de ma foufoune et qui coulait le long de mon jeans. Je filai à la salle de bains pour voir les dégats. Une aurélole était apparue. J’étais fière de moi, mais je sentais aussi que mes intestins pressaient. Bien que j’étais à coté des toilettes, je les ai complètement ignoré. Et là le caca a rempli ma petite- culotte. Je suis restée un bon moment comme cela, le temps que l’urine devienne froide. Puis j’ai retiré mon jeans mouillé qui me collait à la peau et ma culotte, tout en faisant attention à ne pas "renverser" du caca par terre. Je me dis que si maintenant je recommence à faire dans ma culotte, il faudrait que je mette des langes.

Le lendemain, je me rends dans une grande surface du coin. Je cherche des couches, mais les couches Pampers sont trop grandes pour moi. Je me décide pour les Goodnight qui sont faites pour les e n f a n t s qui ne sont pas propres la nuit.

Rien que prendre le paquet m’excite, j’ai hâte d’en porter une. Quand je passe à la caisse, mon visage devient rouge mais la caissière ne fait aucune remarque, heureusement.

Une fois rentrée au studio, j’ouvre le paquet. Il y a vingt couches, j’en prend une pour l’examiner. Il n’y a pas de dessins comme sur les Pampers et elles ressemblent à une culotte, d’ailleurs elles s’enfilent comme une culotte. Je suis déçue car cela fait moins bébé. Je l’ai enfilé et je suis ensuite descendue au restaurant universitaire pour le repas de midi. Il n’y avait encore que peu de monde, la plupart des étudiants n’arrivent que le dimanche. Je m’assis à une table, seule. Pendant que je mangeais, le besoin de pipi s’est fait sentir. Mais là je suis restée bloquée. Faire pipi devant d’autres jeunes, je n’ose pas.

Pourtant il le faut, car cela devient de plus en plus pressant. Je serrais les jambes en sentant l’épaisseur qui les séparaient. Puis au moment où je finissais mon dessert, j’ai senti un jet de pipi qui m’a échappé. En repensant à la sensation que cela m’a procuré, j’ai lâché un deuxième jet de pipi un peu plus important. Finalement j’ai mis mes mains entres mes jambes et je les ai écartées. Là tout le pipi est sorti, ma couche était chaude...

Deux jours plus tard, c’est la soirée d’accueil d’un club d’étudiant de la faculté où je suis inscrite. J’y suis invitée. Au départ je ne pensais pas y aller avec une couche, mais j’en avais laissé une sur ma table de chevet. Au moment où je me suis préparée, elle m’a tenté toute seule comme ça. Après quelques hésitations, j’ai décidé de la prendre. La soirée se passa bien, je bus beaucoup et comme je n’avais pas l’habitude, je pris ma première cuite. Je me suis écroulée contre un mur, puis contre un banc. Voyant mon état, deux étudiants responsables du club ont décidé de me ramener chez moi. J’avais peur car ils allaient voir ma couche qui, en plus, était bien remplie. Si du moins ils me chantaient, car j’avais vomi sur mes vêtements.

Malheureusement ils m’ont changée. En retirant mon pantalon, quel ne fut pas leur étonnement de voir ma couche. Après ce moment d’étonnement, en voyant le paquet de couches et l’état de celle que je portais, ils décidèrent de me changer. J’étais encore un peu consciente pendant la scène et finalement je ne regrette pas que cela se soit passé. Ouvrir la couche ne leur a posé aucun problème, mais la retirer de mon postérieur oui. J’avais aussi fait popo, je vous laisse imaginer la scène. Avant de me remettre une autre couche, ils m’ont nettoyé les fesses et la foufoune.

J’ai eu à ce moment là une sensation jamais explorée. Puis plus rien, le trou noir.

Le lendemain matin, Marc et Olivier étaient dans ma chambre, inquiets de mon état et aussi amusés de jouer à la poupée. Cela a été une matinée fantastique...

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Merci pour vos histoires, je les apprécie et cela me donne envie d'en écrire également !
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